lundi 22 février 2016

Argent (perso)-----Luz Forero

LA COULEUR DE L’ARGENT

C'est une exposition de Luz Forero.

Luz Forero

Ce travail s’ inscrit dans deux concepts : l’ argent et la répétition. L’ unité est la pièce de monnaie. L’ ensemble des pièces compose le tableau. Le tout est visible par l’accumulation des unités comme dans un organisme dont on pourrait voir à l’oeil nu les atomes. De la même façon que dans un groupe humain, chaque pièce de monnaie “vieillit” à son rythme : l’usure de son vécu. Neuves elles sont presque identiques, brillantes, “pures”. Quand elles circulent, quand elles passent demain en main elles se salissent, se raient, s’ oxydent, s’usent... mais leur valeur reste la même. Elles ne se dénaturent pas.

Dans le “Tout” chaque petite unité est presque anonyme mais s’ il venait à manquer ne serait-ce qu’ une seule, il y aurait un trou. Cet ensemble parait monolithique par la fréquence, par le rythme. Nous agissons en société de la même façon.

WARNING 60x60 cm Acrylique sur toile contrecollée sur bois529 pièces de 20 centimes d’€

Un tableau fait avec des pièces neuves, offre au spectateur son propre reflet : comme un miroir. Conceptuellement nous travaillons pour obtenir de l’ argent. Ce travail est notre vie et donc cette recherche de l’ argent devient notre vie.

Une des caractéristiques de notre société est l’ accumulation :d’argent, de biens, de relations, de savoir... Avec le temps les pièces de monnaie se salissent physiquement et nous pouvons voir littéralement l’argent sale. Ce concept d’ “argent sale” représente la fraude, les dépravations, les corruptions et la violence. 

Notre monde globalisé fait que les économies sont en réalité une seule : un désastre en bourse d’ une économie forte déstabilise l’ économie mondiale. Cette interdépendance est la même que les différentes petites pièces de monnaie des tableaux que je propose. Des tableaux faits
avec des euros, dollars, yens, yuans, pesos... sont les mêmes.
En temps qu’artiste avec la richesse d’ être sud-américaine et européenne avec de la famille aux Etats-Unis, je vois et vis ce phénomène de la couleur de l’ argent en “direct”.

« NUNCA MAS » 90 x 90 cm Acrylique sur toile contrecollée sur bois1089 pièces de 5 cts. d’ €
« Nunca mas » est le nom du rapport émis par la Commission Nationale sur les personnes disparues de l’Argentine. Sa mission était de recevoir les plaintes et les rapports sur les disparitions, les enlèvements et la torture qui ont eu lieu pendant la Dictature Militaire, et réunir des informations sur ces personnes.



Ressource: http://www.artcotedazur.fr/actualite,109/art-contemporain,34/la-couleur-de-l-argent-de-
                   luz-forero,4449?lang=fr
                  http://www.luzforero.co/fr/component/content/article/20-informations/presse/323-la-
                   galeria-comunicado-de-prensa-colores-del-dinero
                  http://www.luzforero.co/fr/informations/20-informations/presse/205-l-art-de-l-argent

Fleur (perso)-----Vincent Van Gogh

Vincent Willem van Gogh (1853-1890) est un peintre et dessinateur néerlandais. Son œuvre pleine de naturalisme, inspirée par l'impressionnisme et le pointillisme, annonce le fauvisme et l'expressionnisme.

Vincent van Gogh
Les tournesols se trouvent plutôt dans le sud de la France. Ils sont réputés suivre chaque jour la course du soleil. Ils sont parfois nommés « soleils ». En réalité, une hormone de croissance du tournesol se concentre dans la partie ombragée de la tige qui devient légèrement plus longue, créant ainsi un déséquilibre de la plante et donnant l’impression que la fleur du tournesol s'incline vers le soleil. Les tournesols ne suivent donc pas le soleil quotidiennement. 

En Arles, Van Gogh a loué une petite maison dont la façade est peinte en jaune. Il décore l’intérieur avec une série de tableaux représentant des tournesols, symboles du soleil ardent du Midi.

Les tournesols
Vincent Van Gogh - été 1889
Huile sur toile
Hauteur 95 cm Largeur 73 cm
Van Gogh Museum Amsterdam, Pays-Bas

Le jaune est la couleur fondamentale des toiles arlésiennes de Van Gogh. Dans ses études de tournesols, la couleur se déploie vers les oranges. Van Gogh multiplie les nuances en travaillant également avec des tonalités vertes. 

Dans cette série constituée d’infinies variations sur le thème, ces fleurs banales deviennent toutes différentes, roulées en boule ou les pétales ébouriffés. L’artiste veut s’exprimer avant tout au moyen de la couleur. Il n’y a plus de traces ici, de coups de pinceau brefs et interrompus qui appartiennent à l’expérience divisionniste. Le coup de pinceau est continu, fort, agressif. Van Gogh crée le dessin et le volume des fleurs, jaune sur jaune, dans une composition pleine de mouvement.

Il n’y a pas de contrastes de couleurs dans cette toile, mais plutôt une recherche d’harmonie. Cependant, le jaune et l’orange resplendissent grâce aux touches vertes et aux petits traits de bleu ciel dans le cœur. Une fine ligne bleue dessine le volume du vase et la signature.

Le jaune de ce tableau est chatoyant. La forme du tournesol évoque celle du soleil. Les tournesols, l’arrière-plan de la toile ainsi que le vase qui contient les fleurs, sont jaunes. Toutefois quelques autres couleurs sont perceptibles. Les touches de marron, de vert et de noir ne semblent participer à cette composition que pour rehausser le jaune dominant de la toile.

En peignant cette œuvre, Vincent Van Gogh a peu lissé la matière et laisse même percevoir l'épaisseur de la peinture par la superposition de couches. L’œuvre prend du volume, une nouvelle dimension et par le mouvement des couches de peinture reflète un réel dynamisme.

Une nature morte représente des objets inanimés, figés. Or, dans cette œuvre les tournesols sont bien vivants et dynamiques: ils semblent surgir de la toile comme des cheveux ébouriffés. Certains tournesols sont en train de faner, d’autres sont en bouton… à l’image de la vie. 


Ressource: http://www.parisblogged.fr/2012/06/les-tournesols-de-vincent-van-gogh.html
                   https://fr.wikipedia.org/wiki/Les_Tournesols
                   https://fr.wikipedia.org/wiki/Vincent_van_Gogh

Feu (perso)-----Claire Fontaine

Claire Fontaine est un artiste français, il aime beaucoup utiliser d'un objet du quotidien, manufacturé en série qui devient tout d'un coup objet d'art. 

France (burnt/unburnt), 2011

Sur le mur de la salle d'exposition, on aperçoit une carte de la France. De loin on a l'impression qu'elle est représentée par de multiples points rouges, mais lorsque l'on se rapproche de celle-ci, on voit que cette carte est composée uniquement d'allumettes en bois à bout rouge. 

Cette oeuvre utilise ici le principe du "Ready-Made". Claire Fontaine se sert de l'allumette, un objet fabriqué en série et compose avec cela uniquement son oeuvre d'art. Des milliers d'allumettes forment la carte de la France. Mais cette oeuvre est également une performance, puisque l'artiste met le feu à certaines allumettes, ainsi le feu se propage d'allumettes en allumettes, le feu envahit alors le pays. La France est "en feu", se noircie tout comme le mur et le plafond. Les allumettes elles s'éteignent petit à petit, la France n'est alors que ruine, en cendre tel un pays ravagé par une guerre. Claire Fontaine nous montre la France et ses défaillances, car malgré que ce soit un pays occidental et une puissance mondiale il est lui aussi en crise. A la fin de la performance on peut voir que la fumée a envahit la pièce, on voit de moins en moins bien, tout comme le futur de ce pays que l'on a de plus en plus de mal à distinguer.

France (unburnt), 2011

France (burnt), 2011

Claire Fontaine a utilisé le même principe sur d'autres pays comme les Etats-Unis, l'Italie, le Portugal, la Grèce, l'Espagne.


Ressource: http://www.t293.it/artists/claire-fontaine/
                   http://www.clairefontaine.com
                   https://www.youtube.com/watch?v=P842ocBbpIQ

Street art (perso)-----Nele Azevedo

Nous sommes tous des mortels

Nous sommes tous des mortels
Nele Azevedo est un artiste et sculpteur Brésilien , célèbre pour ces hommes de glace.
En 2013, Nele Azevedo signe une installation à l’occasion des 100 ans du début la première guerre mondiale. Ces 5.000 sculptures en glace étaient installées à Birmingham sur les marches de Chamberlain Square. Pour la petite histoire, l’un des premiers à placer une sculpture sur ces marches était monsieur Pam Brooking dont le grand-père John Osborne Walford a combattu dans un régiment anglais. 20 bénévoles ont aidé l’artiste à sculpter les 5000 pièces et 18 congélateurs furent nécessaires pour les conserver.

Les pertes humaines de la Première Guerre mondiale s’élèvent à environ 18,6 millions de morts. Ce nombre inclut 9,7 millions de morts pour les militaires et 8,9 millions pour les civils. Les Alliés de la Première Guerre mondiale comme les Empires centraux perdent plus de 9 millions de vies.

Pendant l'exposition, chaque personne de glace représente une victime du Titanic, l’installation dans son ensemble est un hommage à cette catastrophe. Cette oeuvre d’art est une expression puissante de la temporalité de la vie et de l’inéluctable mort qui nous attend.


Ressource: http://golem13.fr/minimum-monument-nele-azevedo/
                   https://quefaire.paris.fr/fiche/118556_nele_azevedo
                   http://golem13.fr/minimum-monument-nele-azevedo/

Clown (perso)-----Antoine Watteau

Pierrot est un tableau attribué à Antoine Watteau, qui aurait été peint en 1718-1719 et est exposé aujourd'hui au Louvre. Il a longtemps été appelé Gilles. Œuvre majeure du peintre, on ignore tout des circonstances et des conditions de la réalisation de ce tableau au format monumental.

Le Pierrot est un des plus célèbres personnages de la comédie italienne. Le thème de ce tableau pourrait venir de l’expérience de Watteau en tant qu'élève de Claude Gillot, qui peignait entre autres de nombreux décors de théâtre. L'explication actuelle est que le grand format du tableau et son tableau auraient pour origine une commande destinée à être l'enseigne du café de l'ancien acteur Belloni.


Pierrot

Ce tableau est grand, de la taille d'un homme. Au premier rang, qui occupe presque toute la hauteur de la toile, un jeune homme, les bras ballants, les mains mains pendent, vacantes, le regard timide, dans le vide, vers la gauche et vers le bas. Le teint est rosi, aux joues, au nez. Les lèvres sont bien découpées, celle du haut surtout qui fait des vagues. Le menton révèle une petite pointe mais la rondeur domine, le cou suggère un léger embonpoint. Les sourcils sont noirs, bien marqués, allongés.



Ce visage montre une dissymétrie. Peut-être est-elle induite par le rayon de lumière? Il vient du haut à gauche. Pierrot porte une coiffe, double en quelque sorte: d'abord un ruban lui enceint le front, d'une oreille à l'autre. Aucun cheveu ne dépasse, aucune boucle, le front est lisse et brille. Ensuite le rebord rond et assez large de la coiffe proprement dite, elle lui dessine une auréole. La collerette est large, légère, recouvre la moitié des épaules et bouffe sur la poitrine. Lorsqu'il a esquissé son personnage sur la toile, Watteau a tracé les contours d'un grand oeuf où il a placé tout cela coiffe, tête et collerette. Cela pourrait donner un médaillon.



Pierrot porte un costume aux pièces assorties. Une veste, seize boutons pour tenir les pans, deux aux poches, probablement deux autres mais ils sont cachés par les poignets. Les avant-bras, les manches les tiennent, elles ont cependant tendance à tomber et ne sont retenues que parce que les mains sont plus larges que leur échancrure. Au-dessus, elles s'évasent, boursouflent en plis épais et serrés. La veste s'écarte à partir des hanches, comme si elles étaient trop larges. Le pantalon, lui, blanc toujours, est court, laisse voir les mollets recouverts de bas gris. Les chaussons, blancs enfin, sont tenus par des rubans roses.

Pierrot n'est pas posé exactement au milieu du tableau, décalé légèrement à gauche. Il en remplit toute la hauteur, mais il y a plus d'espace entre la crête de sa coiffe et le bord supérieur du tableau qu'entre son pied gauche et le bord inférieur. Il est à tel point près de ce bord qu'il lui suffirait de faire un pas pour sortir du cadre  - et entrer dans le monde d'ici. Il est donc insuffisant de dire qu'il compose le premier plan du tableau. Il est tellement au premier plan qu'il y aurait comme deux tableaux, celui où figure le Pierrot, et le reste de la scène qui serait un monde à lui étranger. Mais ce n'est pas si simple.





Au second plan, en contrebas de là où se trouve Pierrot - en contrebas puisqu'on ne voit que les haut des corps - , trois personnes, deux hommes de part et d'autre d'une femme, du bon peuple, le premier en habit rouge vif, y compris la coiffe fichée de guingois, elle n'a que son chignon et un départ de gorge, grassouillette, la coiffe pâle du troisième est découpée à la façon d'une crête de coq. Ils tirent sur la longe pour faire avancer un âne sur lequel est juché un quatrième personnage, à chapeau noir, collerette bouffante, habit noir, tout du carabin. De l'équipe de droite, par rapport à Pierrot qui, malgré son immobilité et son regard absent prend toute la place, l'homme en rouge et la femme en chair regardent vers l'âne. Le troisième regarde le carabin, la bouche ouverte les yeux écarquillés, est-il ébahi ou bien craintif? Le carabin serait le maître? À y regarder de plus près, les traits du visage révèle un dessin fait d'après modèle - comme d'ailleurs le Pierrot. Alors que les visages des trois autres sont stylisés, telles ces figures que l'on retrouvent reproduites de tableaux en tableaux, chez Sueur par exemple, dans la salle traversée sur le chemin de celle-ci. Mais, du carabin, le trait le plus particulier est qu'il regarde le spectateur. Il est même penché dans sa direction. Et il lui sourit avec malice. Il établit une connivence avec le présent, il sort du tableau, lui encore, par une autre voie.


Ressource: http://chroniquedupieton.blogs.com/chronique_du_pieton/2011/01/275.html
                   https://fr.wikipedia.org/wiki/Pierrot_(Watteau)
                   http://www.louvre.fr/oeuvre-notices/pierrot-dit-autrefois-gilles

Roche (perso)-----Maude Maris

Maude Maris est une artiste française. 

Maude Maris

La pratique développée par Maude Maris est singulière : de petits objets chinés sur les marchés aux puces ou trouvés dans la rue sont moulés en plâtre, ce qui permet à l’artiste de manipuler l’objet, de laisser place à l’inattendu et aux petits «accidents», tout en préservant leur matière. Figurines d’enfants, ustensiles de cuisine, statuettes de la Sainte Vierge ou tête de chien, tout peut offrir une forme intéressante à travers la transformation de l’objet. 

Plus récemment Maude Maris a commencé à mouler des éléments naturels qu’elle puise dans son environnement quotidien. En complément, il lui arrive d’utiliser directement des pierres ou des fossiles, sans les mouler. Tous ces objets entrent en jeu dans ses peintures, qu’ils soient artificiels ou naturels, moulés ou laissés comme tels.

Inventaire, 130°¡195 cm, huile sur toile, 2013

Chaque oeuvre est le résultat d’un processus élaboré : réunir les objets, les mouler, créer une composition, la photographier et finalement peindre à partir de la photographie. Chaque étape ajoute un nouveau degré de distance, lisse les objets et crée un détachement que renforce la technique picturale. Le coup de pinceau est discret, les objets représentés dans des couleurs artificielles aux tonalités pastels. La palette évolue cependant, avec une récente apparition de noirs et de gris. L’utilisation à ses débuts de logiciels 3D reste aujourd’hui perceptible dans le travail de l’artiste, empreint d’une artificialité et d’une esthétique lisse et minimale. Maude Maris suggère la profondeur et fixe l’objet dans l’espace indéfini en reprenant l’ombre caractéristique des logiciels informatiques.

 Maude Maris, Vestales, 2015
Huile sur toile, 150 x 250 cm
© Nicolas Brasseur

Maude Maris, Rudiments, 2015
Huile sur toile, 160 x 130 cm
© Nicolas Brasseur 

La sculpture est indéniablement présente dans le travail de Maude Maris. Non seulement dans sa méthode de travail (le moulage des objets), mais également dans le sujet qu’elle traite : l’objet, entre position sculpturale et fonction utilitaire. 

Maude Maris mêle ainsi dans ses dernières oeuvres des influences issues de l’Antiquité, de la Préhistoire, mais aussi du fantastique. Les pierres, cailloux, branches, fossiles et autres formes qui composent le vocabulaire de Maude Maris sont empilés, accumulés et arrangés de manière simple et précise. Ces compositions évoquent à la fois Stonehenge, le temple grec, la pyramide, la hutte primitive, le foyer ; elles révèlent leur agencement commun par le geste primitif et universel de l’empilement.


Ressource: http://maudemaris.com/fr/votive-vog-fontaine/
                   http://slash-paris.com/en/artistes/maude-maris/a-propos
                   http://galerie-gounod.com/fr/expositions/presentation/166/foyer



Série des Cathédrales de Rouen (perso)-----Claude Monet

Série des Cathédrales de Rouen

Claude Monet (1840-1926) est un peintre français, l’un des fondateurs de l'impressionnisme, peintre de paysages et de portraits.

L’impressionnisme est un mouvement apparu à la fin du XIX° siècle, il regroupe plusieurs peintres dont Auguste Renoir, Edouard Manet, Alfred Sisley, Camille Pissaro ou Claude Monet. Ce qui intéressait les impressionnistes, ce n’était pas essentiellement le sujet qui était peint, mais plutôt de traduire l’ambiance générale d’un lieu à un moment donné. Le paysage impressionniste est réalisé avec de petites touches colorées, ainsi, les contours ne sont pas nets et les couleurs sont très peu mélangées. 

Cathédrales de Rouen

Cathédrale de Rouen, 1892-1894
série de 30 tableaux
Huile sur toile, 
100 cm. x 65 cm
Courant artistique : L’impressionnisme


La Série des Cathédrales de Rouen désigne 30 tableaux peints par Claude Monet représentant des vues différentes de la cathédrale Notre-Dame de Rouen, et très majoritairement de son portail, réalisées de 1892 à 1894.. Monet a réalisé ces toiles depuis la fenêtre d’une boutique en face de la cathédrale. Il était tellement près qu’il ne pouvait voir l’édifice dans son ensemble. Pour chacun des 30 tableaux, il a représenté la cathédrale à un moment différent de la journée : au petit matin, à midi, le soir, mais aussi au crépuscule ou par temps de brouillard. Ce qui l’intéressait, ce n’était pas de représenter la cathédrale pour elle-même, mais pour mettre en avant les variations de la lumière sur sa façade. Pour chaque tableau, il devait se dépêcher de peindre, car la lumière du soleil change vite. C’est pourquoi, il ne s’attardait pas sur les détails : il posait la peinture sur sa toile par petits paquets colorés (la touche), ce qui donnait à l’ensemble sa vibration. Ce qui l’intéressait, c’était l’atmosphère qui se dégageait du tableau. 


Ressource: https://fr.wikipedia.org/wiki/Claude_Monet
                     http://www.impressionniste.net/monet.htm
                     http://www.rouentourisme.com/monet-et-ses-cathedrales/